Synergie Congo vous donne l’occasion de discuter sur tous les aspects liés á la mort loin de notre pays d’origine, la République Démocratique du Congo. Donnez librement votre point de vue ( le pour ou le contre) dans la langue qui vous est favorable.
Nous sommes nés au Congo, où nous y avons vécu jusqu'à notre âge adulte, avant de plier bagage pour immigrer vers des cieux meilleurs entre autres les pays d’Europe occidentale, d’Amérique du nord, etc. Mais avant l’âge de la retraite, l’échéance que nous attendons tous pour effectuer le grand retour au pays, la mort passe par là. La mort dans un pays étranger n’étant pas prévue dans nos projets de migration, nos proches et nos familles sont surpris et profondément touchés. A ce point surgit la problématique du rapatriement de la dépouille mortelle vers le pays natal. Il faut courir dans tous les sens pour préparer les documents nécessaires à cette opération. Et aussi faut-il également réunir les moyens financiers nécessaires pour permettre au défunt de rentrer au pays de ses ancêtres. L’opération s’avère très couteuse en temps et en argent. La somme d’argent récoltée doit couvrir les frais de transport vers l’aéroport international du pays d’origine, les dépenses relatives au traitement post-mortem, la mise en bière, les aménagements spécifiques au transport et les billets d’avion pour les personnes proches qui doivent accompagner le défunt et assister à ses obsèques dans sa ville ou son village d’origine. Face à l’événement, qu’attendent le papa, la maman ainsi que toute la famille du défunt au Congo ? Qu’en est-il des enfants, la femme ou le mari du défunt en Europe? Que prévoient les lois norvégiennes en cette matière (après la mort) ?
Le sujet est maintenant transferé sur le site de SyneCo.Suivez le lien ci-dessous:
http://www.syneco.org/417794598
NI POUR ET NI CONTRE:
RépondreSupprimerles familles au congo en tenant à rapatrier le corps du parent défunt, veulent plutôt par cela pouvoir rendre visite à sa tombe, ça peut paraître bizarre mais c'est une sorte de soulagement que de s'asseoir à proximité de la tombe de la personne qu'on a perdue en lisant quelques versets bibliques à son âme, ou même aussi lui parler comme si il ou elle nous écoute et pourquoi pas lui demander pardon s'il y'a lieu du moment que tout ce que nous faisons nous le sentons émaner du fin fonds de notre cœur, finalement ça peut s'apparenter à une psychothérapie qui peu s'avérer très efficace et nous aider à dépasser les moments pénibles qui accompagnent généralement la perte d'une personne qui nous est chère. je ne vois pas pourquoi allons nous priver les personnes qui nous aiment de cette opportunité, seulement le problème se pose au cas où le défunt a une famille (époux (se), enfants) qui eux aussi tiennent à ce qu'il soit enterré sur place, en Europe, pour les mêmes raisons citées plus hauts, donc là il faut poser la question à ceux-ci et voir leur feed-back afin de pouvoir trouver un compromis.
Ne faudra-il pas demander l'avis de tout le monde et prendre une décision qui soit équitable et favorable à toutes les parties, et après tout puisque les enfants choisissent dans la majorité des cas de continuer a mener leur vie en Europe avec leur maman ou papa alors autant choisir d'être enterré prés d'eux comme ça ils ne seront pas lésés mais ça ne sera pas une partie de plaisir pour la famille au Congo(surtout pour maman et papa s'ils sont toujours en vie),
ils ne cesseront jamais de répéter qu'ils n'ont pas pu voir leur enfant en son dernier jour, qu'il leur manque terriblement et qu'ils sont capables de donner le reste de leur vie juste pour le voir une seule et unique fois et je vous assure que certaines mamans peuvent subir un choc durant toute leur vie à cause de ca. Personnellement, je demanderais à ce qu'on m'enterre là où il y'a mes parents si je meurs avant eux bien sûr, sinon c'est à côté de la petite famille c’est-á- dire à côté de mes enfants. En verité, mourir en terre natale ou sur n'importe quel recoin de la planète, ça ne peut en aucun cas influer sur le traitement auquel on aura droit le jour du jugement.
A suivre......
Partant de cette citation latine:"Memento mori":qui signifie « Souviens-toi que tu mourras ».
RépondreSupprimerPar raooprt à ce qui précéde,ette question:" Rapatriement du corps du défunt vers la République Démocratique du Congo. Pour ou Contre?"a raison d'être.
Mais avant d'entrer dans le vif du sujet,il y a une nuance à la phrase introductive tel que énnoncée par SYNECO:"... plier bagage",est synonyme de se preparer pour quitter la terre natale tant aimée.Ce qui n'est pas le cas de tous.Dans l'un ou l'autre cas,c'est un soucis insurmontable chaque fois qu'on réalise qu'on vit loin de chez-soi.
Revenant au sujet et de part l'énoncé de SYNECO,les difficultés (non exhaustives)énumerées ne donneraient pas place au débat.Mais qu'à cela ne tienne,ce dernier(sujet) succite une question à soumettre à tout compatriote:
-Est-ce par amour à l'égard du défunt qu'on pense pouvoir rapatrier le corps de l'illustre disparu?
S'il faut accepter qu'en posant une question,on detient une partie de la réponse,permettez de donner une position sur cette interrogation.
De part la culture africaine en général et congolaise en particulier,il ya mobilisation azumit dès qu'on perd un membre de la communauté.Ce qui est un signe manifeste d'AMOUR,mais il reste à se demander si c'est le VRAI AMOUR car mêmes les "ennemis" d'hier couvrent le disparu des bons témoignages et n'hesitent même pas à mettre la main dans la poche pour une éventuelle contribution à l'organisation de la veillée mortuaire.A ce point,ceci est une traitrise de soi-même,une hypocrisie masquée et une moquerie à l'égard du disparu.
Chers compatriotes,loin d'être négatif ou négativiste à ce sujet,mais avant de penser à ce que nous allors faire une fois qu'un des nôtres quitte cette terre des humains, invitons au sentiment d'AMOUR dès notre vivant et le reste viendra de soi.Pourquoi vouloir refléchir sur le traitement à reserver à un corps sans vie mais lorsqu'un des nôtres est par exemple malade,on pense moins à lui,on l'abandonne et pire encore,certains de mauvaise foi se permettent de l'exploiter ou spolier ses biens(avoirs).N'est-ce pas inhumain?
Cette vision n'est pas de vouloir désorienter le bébat,mais par contre elle se veut sensibilisatrice-moraliste sur la culture de l'AMOUR comme priorité.Aimer son compatriote implique automatiquement l'amour de la PATRIE.Et ceci deduit que si nous aimons la Patrie -Mère,nous allons travailler pour son mieux-être,pour sa "viviabilité".Ce qui nous permettrait d'y rentrer VIVANT au lieu d'attendre qu'on nous y ramene dans cercueil hermetiquement fermé et à seule condition qu'on aie cette chance soit d'avoir les moyens financiers soit aussi d'être accepté par les autorités de la PATRIE-MERE.N'est-ce pas qu'on dit qu'on n'est mieux que chez soi?Un defi en fâce de ceux comme moi qui croient en cette affirmation.
Hormis cette refléxion,je pencherai vers ceux qui pensent que les moyens financiers à mobiliser pour un rapatriement d'un corps servirait à autre chose si une fois le corps est inhumain sur place où il a trouvé la mort. Une affirmation personnelle:le ramener au pays ne change rien.
N'est-ce pas aussi laisser un testament de vouloir être rapatrié une fois mort est une équation probablement difficile si pas impossible pour les proches qui ont difficile à surmonter les obstacles enumerés par SYNECO?
Il va de soi d'être objectif et réaliste.
Pour s'enrichir les uns les autres,le bédat reste ouvert !!!
Patriotiquement
ERRATUM
RépondreSupprimerA part les petites fautes de saisie (oublis d'un accent par ci par là),une erreur qui cangerait le sens de l'idée s'est glissée dans le dernier paragarphe du deuxième commentaire:A la place de "INHUME",on sait lire:"INHUMAIN".Et pourtant ce dernier n'a pas sa place ici.
Nos excuses.
Voici ce que la loi norvegienne prévoit:
RépondreSupprimerBarn og barnebarn
Avdødes barn og barnebarn kalles "første arvegangsklasse" i arveloven. Arven går som hovedregel til avdødes barn. Dersom avdødes barn ikke lenger er i live, går arven videre til deres barn, dvs. barnebarna.
Hvis avdøde verken har barn eller barnebarn, går arven videre til mor og far.
Parlant de la femme(mari): voici ce que la loi norvegienne prévoit:
Først og fremst er du alltid sikret å arve et minstebeløp etter din ektefelle. Denne minstearven tilsvarer fire ganger grunnbeløpet i folketrygden ved dødsfallet dersom det er livsarvinger (barn, barnebarn) etter avdøde. Dersom avdøde ikke hadde livsarvinger, er minstearven til ektefellen seks ganger grunnbeløpet i folketrygden. Det betyr at du alltid er enearving til alt din ektefelle etterlater seg, dersom verdien av dette ikke overstiger den aktuelle minstearven.
Selv om din ektefelle etterlater seg større verdier enn minstearven, er du etter loven enearving dersom din ektefelle ikke hadde barn, foreldre, søsken eller søskens barn eller etterkommere etter disse, i live ved dødsfallet.
I alle andre tilfeller - dvs. når det er andre arvinger etter avdøde enn bare du - har du som oftest rett til å velge om dødsboet skal skiftes - deles - straks mellom deg og de andre arvingene, eller om du vil beholde det uskiftet (sitte i uskifte).
Beholder du boet i uskifte, må det senere skiftes med avdødes andre arvinger, senest når du selv er død.
1er constat: il faut déjà écrire un testament(viktig). Dans ce document on peut préciser un certain nombre de choses entre autres la question du rapatriement ou non, définir les dispositions à prendre après sa mort etc.…
2e constat: Dans le cas ou le défunt n'a pas laisse un testament. Dans ce cas c'est la loi norvégienne qui sera appliquée et elle n'est pas claire. Je comprends que les enfants sont les principaux héritiers et que la femme (papa) à droit lui aussi a une partie de l'héritage.
Mais qui décide dans ce cas précis de la mort? Je crois que ces sont les enfants (adultes) peut être ensemble avec leur maman (papa).
Conclusions: écrire un testament, c'est une bonne manière de protéger vos enfants et votre mari (femme). En plus on peut déjà commencer a parle de ces choses avec sa famille de son vivant. La mort fait partie de la vie.
Salutations patriotique.
C'est un vrai débat et je remercie Synergie Congo pour l'initiative. Le commentaire précédant semble concerner plus l’héritage et non le rapatriement du corps du défunt.Néanmoins je loue la franchise des uns tout comme des autres.A mon sens,il ne suffit pas seulement d'écrire un testament où vous signalez que vous voulez que l'on vous enterre en RDC mais de la même façon que vous investissez en biens matériels pour les jours à venir,il faudra aussi
RépondreSupprimerinvestir au " rapatriement de votre corps ou de celui d'un des membres de votre famille" pour réduire les dépenses financières liées à l’opération au moment venu. Moi personnellement je souhaite que je sois enterrée dans la terre de mes ancêtres et c'est l'avis de mon mari aussi.Quand le problème nous frappera,les compatriotes qui aimeraient nous aider ( peut-être Synergie Congo) nous trouverons déjà avec une contribution personnelle ou familiale d'au moins 50.000 couronnes norvégiennes (~ 10.000 USD). En bref mon point de vue est qu'il vaut mieux investir pour le rapatriement de son corps quand l'on veut bien être enterré au Congo. Bon week-end à tous et coup de chapeau à Synergie Congo pour de tels débats!
Hei!
RépondreSupprimerMakambo ya ko zongisa nzoto ya moweyi ezali + congolais ke norvegien. Bango ba zalaka mingi na ba assurances na bango, mpe ata kutu ezali te gouvernement na bango asalaka nionso po ete corps ezonga na norway mais kasi gouverment na biso etali ye te.
Na kanisi ke soki na landi motula oyo ya synergie malamu , ezali ya ko limbola soki ozali pour alors na raison nini? Soki ozali contre na raison nini? PO makanisi na yo na ya ngai ekoki apprendre moninga mosusu. Et puis, nani azali proprietaire ya nzoto ya moweyi na mikano(lois) ya ba norvegien? PO ye nde selon ngai ako decider eloko nini eko salema na nzoto ya moweyi soki atiki testament te. Ezali bana to muasi(mobali)?
Ngai na lobi ke, na tango papa na maman na gai na mboka ba zali nano na bo moyi, ba ko kunda ngai na mboka mais soki bango mibale basi ba kufi na ko kundama pembeni ya bana na ngai.
Synergie ekumisama.
Eyenga malamu
La difficulté, c'est quand on est entre 2 cultures ( mariage mixte) où l'autre veut que vous soyez enterré ici.Tous les congolais veulent qu'ils sont enterres dans leur pays.Les enfants,il faut les éduquer pour connaitre leur pays.Le probleme de l'argent est un faux probleme car il ya de l'aide que la Norvege peut donner.Il faut seulement eviter le marriage avec les blancs ou blanches! Suis pas raciste mais c'est la verité. A suivre...
RépondreSupprimerBonsoir!
RépondreSupprimerC'est vraie que ca se complique dans un mariage mixte mais toujours dans le cas ou le défunt n'a pas laissé un testament et une personne choisie pour le faire respecté. Pour l'aide de la Norvège, pouvez-vous nous dire de combien il s'agit? A ma connaissance ce n'est même pas une somme suffisante pour enterrer quelqu'un ici. Je fais allusion à l'aide du gouvernement pour être précis.
Le probleme de testament et de l'argent est un faux probleme.Il faut d'abord montrer sa solidarité et pas etre hypocrite.Quand on a une bonne communauté congolaise en Norvege,vraiment responsable,le probleme d'envoyer le corps au Congo sera resolu par la solidarité de notre sang.Les compatriotes vont se battre et se mobiliser pour resoudre le probleme.Quand le probleme frappe les senegalais,les ivoiriens,marocains ,... en France,c'est automatique.Les amis de la communaute se mobilisent.Pour terminer je dis qu'il faut d'abord nous organiser pour avoir une communauté( Diaspora) congolaise de Norvège responsable et le reste de probleme qui touches les congolais seront bien resoulu en solidarité.Comme les autres,je remercie Synergie Congo pour le debat.Pourquoi ne pas prendre en charge le probleme d'organiser les congolais en Norvege? Ba Congolais,Mitema mabe kaka!!!Les norvegiens finirons par bruler vos cadavres...
RépondreSupprimerLaissez les morts enterrer leurs morts.Les miens s'occuperont de mon corps et les votres de votre corps.Chacun dans son coin car rien ne peut etre fait sans montrer d'abord la solidarite dans la communaute congolaise.Laissez mon cadavre tranquille car il ya d'autres gents qui vont s'en occuper et l'enterrer au Congo sans un effort de ma part garce a la vrai solidarite.
RépondreSupprimerMoi,je suis pour enterrer au Congo.Il faut d'abord:-Etre serieux
RépondreSupprimer-Avoir une association des congolais de la norvege responsable
-vivre en communaute congolaise
-eviter le mariage avec les norvegiens/norvegiennes ( tres important)
-investir un peu d'argent pour l'operation
-Pas enterer en norvege svp! dans la glace? loin des siens? pourquoi? Non,non et non...
Propose un autre sujet de debat: Est-ce que les congolais se sentent integres en norvege? Si oui, preuves? Si non, pouquoi? Bon aprem...
Hello!
RépondreSupprimerJe remercie d'abord Synergie Kongo pour cette initiative. Le sujet est bien choisi et il cadre très bien avec mon intégration en Norvège. On pouvait aussi discuter sur la problématique de maison de retraite et j'espère qu'on y reviendra. Aujourd’hui, il s'agit de répondre a la question: pour ou contre le rapatriement de la dépouille mortelle d'un sujet congolais au pays. Moi je suis pour le rapatriement et je m'y prépare déjà en souscrivant a une assurance qui va prendre en charge toutes les dépenses liées a mon dernier voyage vers la terre de mes ancêtres. Cet acte de responsabilité est aussi un temoignage de solidarité envers a ma famille, mes amis et toute la nation Kongolaise que j'aime bien. Alors, puisque'on je suis a mesure de me préparer et de payer en avance pourquoi pas???? J'espère que mother Kongo, notre patrie sera fier de me retrouver.......
Vive le Kongo.
Je ne sais pas bien capter ta derniere idee. " Alors,puisqu'on..."
RépondreSupprimerAssurance=une bonne idee.Combien ca coute? Moi je ne suis ni pour ,ni contre.Faites de mon cadavre ce que vous voulez! Mais Asuurance,ca coute combien?
Les débateurs doivent élever le niveau de reflexion pour ce sujet si important en sachant qu la critique profonde et rigoureuse d'une considération de l'autre est respectueuse.
RépondreSupprimerCe sujet n'épargne aucun étranger sur place. Evitons de le personaliser pour le respect de tous les participants.
Proposons-nous les bonnes pistes de solutions capables de nous édifier tous et de nous enrichir intellectuellement.
Une des solutions sûres qui peut soulanger celui ou celle qui souhaite que son corps soit transporté en R.D.C pour l'enterrement est la suivante:La loi norvegienne octroie à tout étranger ou toute étrangère légalement établi(e) sur son royaume la possibilité de payer ce type d'assurance.
Certains types d'assurance sont obligatoires tandis que d'autres sont facultatives ou volontaires.
L'assurance de pension est l'exemple typique des assurances obligatoires.Voilà pourqoui sa perception est toujours prescrite à la source c'est-à-dire retirer par l'employeur et verser une partie à la commune et une autre au syndicat si son employé est syndiqué.La couverture de cette assurance n'est probitable au bénéficaire qu'à partir de la date à laquelle la loi le déclare pensioniste.
Par ailleurs comme d'aucuns payent pour les assurances de biens meubles et immobiliers, l'assurance pour les enfants,l'assurance pour transport(ici le bénéficiaire recoit la couverture de tous frais enregistrés pendant le voyage en cas d'un incident imprevisible et insurmontable(situation de force majeure ou situation de cas fortuit) survenu en Norvège ou à l'étrager);l'assurance pour certains types de maladies,etc. je recommande à tous mes compatriotes de contacter le service d'assurances pour commencer à s'acquitter de cette responsabilité qui colle à la peau tous des nôtres qui sont pour la thèse de repatriement du corps.
La solidarité communautaire ou communautariste n'a aucune garantie juridique et n'exclut pas notre propre sens aigu de responsabilité en nous prenant totalement en charge dès notre vivant pour limiter le souci de notre mari ou notre femme et/ou nos enfants.
Notons pour finir que cette question est privée.Seul le testament légalement établi et/ou la vontonté de la famille propre de décédé(e)(époux ou épouse et enfants)est la première reponse à ce sujet s'agissant du lieu d'enterrement;du traitement de son corps en cas de brûlure;de la remise ou pas d'un ou plusieurs organes de son corps à l'hôpital pour les malades qui le(s) en ont besoins pour leur chance de longévité,etc.
EN PARLANT DE TESTAMENT, VOICI CE QUE J'AI TROUVE DANS LE WWW: LE DERNIER PARAGRAPHE CADRE AVEC NOTRE DEBAT.
RépondreSupprimerAttention !
Avant de rédiger votre testament, il conviendrait de faire, par écrit, l’inventaire de vos biens (maison, chalet, obligations d’épargne, etc.) et de vos dettes (hypothèques, emprunts, etc.). Si cet inventaire est complet, à jour et daté, il sera d’une grande utilité aux personnes qui auront à régler votre succession.
Si vous possédez des biens d’une certaine valeur ou dont la transmission à votre décès pourrait avoir des incidences de nature fiscale (par exemple, un REER), il serait opportun de consulter un spécialiste en la matière avant de rédiger votre testament.
Si vous pensez que le règlement de votre succession représentera un cas particulier pour quelque raison que ce soit, nous vous suggérons de consulter un juriste avant de rédiger votre testament. Ce pourrait être le cas, par exemple, en raison de la valeur des biens légués, ou de votre désir d’accorder une protection à des enfants en bas âge ou à une personne souffrant d’une maladie permanente.
Si vous êtes marié ou uni civilement, il est important de savoir qu’en cas de décès, si votre conjoint vous survit, il aura droit à la moitié de la valeur des biens faisant partie du patrimoine familial. C’est seulement après avoir réglé cette question que la succession pourra être liquidée.
Il est possible que vous souhaitiez préciser dans votre testament ce que l’on devra faire de votre corps après votre mort, la façon dont devront se dérouler vos funérailles, etc. Il est préférable d’inscrire ces demandes ailleurs que dans votre testament, puisque la plupart du temps, le contenu d’un testament n’est officiellement connu qu’après l’enterrement ou l’incinération. Nous vous suggérons donc de noter ces volontés dans un document qui pourra être lu immédiatement après votre décès.